Le
GIEC à mis à l'écart
Henk TENNEKES (Pays-Bas),
Aksel WINN-NIELSEN (WMO-OMM),
Alfonso SUTERA et
Antonio SPERANZA (Italie)... tous Climatologues respectés, pourtant coupables d'avoir émis de sérieux doutes sur le Nouveau Catéchisme du Réchauffement.
Le 17 janvier 2005, Chris LANSEA a fait savoir par une lettre ouverte à la Communauté Scientifique qu'il renonce à participer aux travaux du futur 4e rapport du GIEC (2007). Ce Spécialiste International des Cyclones avait participé aux 2e et 3e rapport du GIEC
Son cas est similaire à celui de Richard Lindzen, (vu plus haut). Ce Professeur de Météorologie, a démissionné avec fracas après la publication du troisième rapport du GIEC auquel il avait pourtant collaboré. "Le processus engagé par le GIEC relève de la politique et non pas de la science" a notamment déclaré le chercheur.
Troisième exemple : John CHRISTY, l'un des rares Experts Internationaux dans l'Interprétation des Données Satellitaires relatives au Climat, responsable de la plus ancienne base de données en ce domaine (Université de l'Alabama, Huntsville). Christy n'a pas démissionné, contrairement à ses collègues, et s'est même dit favorablement impressionné par le sérieux du travail effectué dans son chapitre. Mais ses réserves sont bien réelles.
Bjorn LOMBORG est un Statisticien à l'université d'Aarhus, Danemark, qui a par le passé soutenu ce qu'il appelle Les vues de l'aile gauche de Greenpeace.
En 1997, il s'est mis à défier Julian Simon, un Economiste qui avait douté des réclamations écologistes. Il a constaté que ces données avaient finalement soutenu Simon. Son livre, l'écologiste sceptique, est édité en anglais par l'Université de Cambridge.
Jan VEIZER est Professeur de Géochimie au Département des Sciences de la Terre à l'Université d'Ottawa (Canada)
Joseph L. BAST est co-auteur de Eco-Sanity: A Common-sense Guide to Environmentalism et publie Environment & Climate News.
Nir J. SHAVIV Professeur associé à l'Institut de Physique de Racah, Université Hébraïque de Jérusalem.
Etudes sur les rapports possibles entre l'intensité des rayonnements cosmiques et le climat de la terre.
Simon J. HOLGATE Chercheur au Laboratoire Océanographique Proudman, Liverpool,
Auteur de : The decadal rates of sea level change during the 20th Century
Etudes sur les niveaux de la mer au XX ème siècle.
Claude ALLEGRE Physicien de la Tectonique des Plaques, Professeur à l'Institut Universitaire de France et l'Institut de Physique du Globe, entre autres.
Ancien Ministre de la Recherche et médaille d'Or du CNRS.
Ernesto JAUREGUI Directeur du Département du Climat Urbain du Centre des Sciences de l'Atmosphère de l'Université nationale du Mexique.
James HANSEN Directeur du NASA Goddard Institute for Space Studies (NGISS)
Climate Impact of Increasing atmospheric Carbon Dioxide
Le Docteur Benny PEISER de la Faculté des Sciences de l'Université de Liverpool écrit que seulement 1/3 des articles de Recherche sur le Climat, acceptent implicitement le consensus d'un réchauffement dû aux causes humaines, dans une relative proportion.
Ce consensus du GIEC réside sur les seules données de +0.6 ° de température entre 1860 et 2000 et +30% de CO2 dans l'atmosphère en 200 ans. Le consensus n'existe pas sur les autres données. Le nouveau rapport du GIEC est attendu en février 2007.
Nicola SCAFETTA Chercheur au Département de Physique de l'Université de Duke, auteur avec Bruce J WEST de : Phenomenological solar contribution to the 1900-2000 Global surface warming, mettant en avant l'influence exceptionnelle du soleil sur le réchauffement actuel.
Ross Mc KITRICK Professeur associé d'Economie à l'Université de Guelph (Ontario, Canada) et Christopher ESSEX ont écrit un livre sur les limites théoriques des modèles climatiques. Voir leur participation à la lettre destinée «au Premier Ministre Canadien» du 6 avril 2006, à la fin de ce document.
Marcel LEROUX est un Climatologue français. Professeur émérite de Climatologie à l'Université Jean Moulin. Il est Directeur du Laboratoire de Climatologie, Risques et Environnement.
Dans son livre « Global Warming: Myth or Reality ? The Erring ways of Climatology »
(Réchauffement planétaire : mythe ou réalité ? Les errements de la climatologie), Il explique que les arguments en faveur de la théorie du réchauffement climatique se fondent sur des modèles qui, avec leurs insuffisances dans la compréhension et l'explication des phénomènes météorologiques, ne peuvent pas justifier avec fiabilité cette prédiction : « Nous n'avons ainsi pas de besoin de recourir à des modèles compliqués pour nous dire que le CO2 entraîne, en théorie, une augmentation de la température... Toutefois, l'hypothèse n'a jamais été démontrée en ce qui a trait au climat et demeure dans le domaine du virtuel. »
Voir sa participation à la lettre destinée «au Premier Ministre Canadien» du 6 avril 2006, à la fin de ce document.
Le professeur Fred SINGER de l'Université de Virginie puis de l'Université George Mason, et Dennis AVERY, Senior fellow et Directeur du Centre Global Food Issue de l'Hudson Institute, dotés d'une solide carrière reconnue, et décorés en matière de climatologie et d'environnement, ont publié un ouvrage intitulé :
Le réchauffement climatique qui ne peut être stoppé, tous les 1500 ans.
F SINGER a publié de nombreux ouvrages sur le climat, mais a été soupçonné de recevoir des financements de grands groupes pétroliers, ce qu'il a officiellement réfuté en 2001.
Quelques Chercheurs et Auteurs Scientifiques Internationaux :
Marten SCHEFFER, Victor BROVKIN et Peter M. COX,
Rétroaction positive entre le réchauffement global et la concentration atmosphérique en CO2 impliqués dans le changement passé du climat.
Margaret S.TORN et John HARTE
Rétroactions absentes, incertitudes asymétriques, et la sous-estimation du futur réchauffement.
Philip J. KLOTEBACH,
Tendances dans l'activité tropicale globale de cyclone au cours des vingt dernières années (1986-2005).
Konstantinos M. ANDREADIS et Dennis P. LETTENMAIER,
Tendances dans la 20ème sécheresse de siècle au-dessus des Etats-Unis.
Hugo A. LOACIGA
Montée du CO2 dans l'âge moderne et ses effets sur l'acidité et la salinité d'eau de mer.
Brigitte Van VLIET-LANOË
La Planète des Glaces.
Au-delà de ces quelques auteurs scientifiques émérites, il existe une pétition : Les signataires de cette pétition incluent jusqu'ici environ 2.600 physiciens, géophysiciens, climatologues, météorologistes, océanographes, et scientifiques environnementaux qui sont particulièrement compétents pour évaluer les effets de l'anhydride carbonique sur l'atmosphère et le climat de la terre. Les signataires de cette pétition incluent également environ 5.000 scientifiques dont les champs de la spécialisation en chimie, biochimie, biologie, et d'autres sciences de vie, les rendent particulièrement compétents pour évaluer les effets de l'anhydride carbonique sur la vie humaine et animale de notre planète. Presque tous les signataires de la pétition scientifique originelle (17.100) ont une formation technique évidente pour l'évaluation des données appropriées sur ces recherches, et beaucoup sont formés dans les domaines relatifs.
Il est suggéré que des grands groupes industriels soient à l'origine de cette pétition, mais le site internet regroupant les signatures, le confirme: les fonds nécessaires à la mise en place de la pétition sont totalement privés.
60 Scientifiques Internationaux spécialisés sur les questions du Climat, ont adressé le 6 avril 2006, une lettre au Premier Ministre Canadien :
Voyez la Liste de ces personnalités, dont les capacités et connaissances ne peuvent être mises en doute. Ce sont pour la plupart des Scientifiques, dont les diplômes, les Travaux et Publications, sont du même niveau, et parfois supérieur à celui des membres de GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat), ou IPCC, en anglais. Groupe qui publie régulièrement des Etudes sur l'Evolution du Climat et ses risques pour la Planète. (Les membres du GIEC sont « globalement » favorables à l'impact déterminant de l'Homme sur le Climat, ce qui n'est pas le cas pour un nombre de plus en plus grand de Scientifiques.
Les rapports du GIEC font autorité auprès des décideurs de la planète.
Voici ce que 60 d'entre ceux qui sont en désaccord avec le GIEC ont déclaré au Premier Ministre Canadien le 6 Avril 2006 :
La phrase : « Le changement de climat est une réalité ! » est une expression sans signification qui est répétée par des activistes pour convaincre le public qu'une catastrophe de climat apparaît et que l'humanité en est la cause. Ni l'une ni l'autre de ces craintes ne sont justifiées. Le climat global change continuellement et selon des causes normales et diverses. L'impact humain demeure impossible à distinguer des causes naturelles.
Voici cette liste (originellement en anglais) :
Dr. Ian D. Clark, professor, isotope hydrogeology and paleoclimatology, Dept. of Earth Sciences, University of Ottawa
Dr. Tad Murty, former senior research scientist, Dept. of Fisheries and Oceans, former director of Australia's National Tidal Facility and professor of earth sciences, Flinders University, Adelaide; currently
adjunct professor, Departments of Civil Engineering and Earth Sciences, University of Ottawa
Dr. R. Timothy Patterson, professor, Dept. of Earth Sciences (paleoclimatology), Carleton University, Ottawa
Dr. Fred Michel, director, Institute of Environmental Science and associate professor, Dept. of Earth Sciences, Carleton University, Ottawa
Dr. Madhav Khandekar, former research scientist, Environment Canada. Member of editorial board of Climate Research and Natural Hazards
Dr. Paul Copper, FRSC, professor emeritus, Dept. of Earth Sciences, Laurentian University, Sudbury, Ont.
Dr. Ross McKitrick, associate professor, Dept. of Economics, University of Guelph, Ont.
Dr. Tim Ball, former professor of climatology, University of Winnipeg; environmental consultant
Dr. Andreas Prokoph, adjunct professor of earth sciences, University of Ottawa; consultant in statistics and geology
Mr. David Nowell, M.Sc. (Meteorology), FRMS, Canadian member and past chairman of the NATO (otan) Meteorological Group, Ottawa
Dr. Christopher Essex, professor of applied mathematics and associate director of the Program in Theoretical Physics, University of Western Ontario, London, Ont.
Dr. Gordon E. Swaters, professor of applied mathematics, Dept. of Mathematical Sciences, and member, Geophysical Fluid Dynamics Research Group, University of Alberta
Dr. L. Graham Smith, associate professor, Dept. of Geography, University of Western Ontario, London, Ont.
Dr. G. Cornelis van Kooten, professor and Canada Research Chair in environmental studies and climate change, Dept. of Economics, University of Victoria
Dr. Petr Chylek, adjunct professor, Dept. of Physics and Atmospheric Science, Dalhousie University, Halifax
Dr./Cdr. M. R. Morgan, FRMS, climate consultant, former meteorology advisor to the World Meteorological Organization. Previously research scientist in climatology at University of Exeter, U.K.
Dr. Keith D. Hage, climate consultant and professor emeritus of Meteorology, University of Alberta
Dr. David E. Wojick, P.Eng., energy consultant, Star Tannery, Va., and Sioux Lookout, Ontario.
Rob Scagel, M.Sc., forest microclimate specialist, principal consultant, Pacific Phytometric Consultants, Surrey, B.C.
Dr. Douglas Leahey, meteorologist and air-quality consultant, Calgary.
Paavo Siitam, M.Sc., agronomist, chemist, Cobourg, Ontario.
Dr. Chris de Freitas, climate scientist, associate professor, The University of Auckland, N.Z.
Dr. Richard S. Lindzen, Alfred P. Sloan professor of meteorology, Dept. of Earth, Atmospheric and Planetary Sciences, Massachusetts Institute of Technology
Dr. Freeman J. Dyson, emeritus professor of physics, Institute for Advanced Studies, Princeton, N.J.
Mr. George Taylor, Dept. of Meteorology, Oregon State University; Oregon State climatologist; past president, American Association of State Climatologists
Dr. Ian Plimer, professor of geology, School of Earth and Environmental Sciences, University of Adelaide; emeritus professor of earth sciences, University of Melbourne, Australia
Dr. R.M. Carter, professor, Marine Geophysical Laboratory, James Cook University, Townsville, Australia
Mr. William Kininmonth, Australasian Climate Research, former Head National Climate Centre, Australian Bureau of Meteorology; former Australian delegate to World Meteorological Organization Commission for Climatology, Scientific and Technical Review
Dr. Hendrik Tennekes, former director of research, Royal Netherlands Meteorological Institute
Dr. Gerrit J. van der Lingen, geologist/paleoclimatologist, Climate Change Consultant, Geoscience Research and Investigations, New Zealand
Dr. Patrick J. Michaels, professor of environmental sciences, University of Virginia
Dr. Nils-Axel Morner, emeritus professor of paleogeophysics & geodynamics, Stockholm University, Stockholm, Sweden
Dr. Gary D. Sharp, Center for Climate/Ocean Resources Study, Salinas, Calif.
Dr. Roy W. Spencer, principal research scientist, Earth System Science Center, The University of Alabama, Huntsville
Dr. Al Pekarek, associate professor of geology, Earth and Atmospheric Sciences Dept., St. Cloud State University, St. Cloud, Minn.
Dr. Marcel Leroux, professor emeritus of climatology, University of Lyon, France; former director of Laboratory of Climatology, Risks and Environment, CNRS
Dr. Paul Reiter, professor, Institut Pasteur, Unit of Insects and Infectious Diseases, Paris, France. Expert reviewer, IPCC Working group II (GIEC) chapter 8 (human health)
Dr. Zbigniew Jaworowski, physicist and chairman, Scientific Council of Central Laboratory for Radiological Protection, Warsaw, Poland
Dr. Sonja Boehmer-Christiansen, reader, Dept. of Geography, University of Hull, U.K.; editor, Energy & Environment
Dr. Hans H.J. Labohm, former advisor to the executive board, Clingendael Institute (The Netherlands Institute of International Relations) and an economist who has focused on climate change
Dr. Lee C. Gerhard, senior scientist emeritus, University of Kansas, past director and state geologist, Kansas Geological Survey
Dr. Asmunn Moene, past head of the Forecasting Centre, Meteorological Institute, Norway
Dr. August H. Auer, past professor of atmospheric science, University of Wyoming; previously chief meteorologist, Meteorological Service (MetService) of New Zealand
Dr. Vincent Gray, expert reviewer for the IPCC and author of The Greenhouse Delusion: A Critique of 'Climate Change 2001,' Wellington, N.Z.
Dr. Howard Hayden, emeritus professor of physics, University of Connecticut
Dr. Benny Peiser, professor of social anthropology, Faculty of Science, Liverpool John Moores University, U.K.
Dr. Jack Barrett, chemist and spectroscopist, formerly with Imperial College London, U.K.
Dr. William J.R. Alexander, professor emeritus, Dept. of Civil and Biosystems Engineering, University of Pretoria, South Africa. Member, United Nations Scientific and Technical Committee on Natural Disasters, 1994-2000
Dr. S. Fred Singer, professor emeritus of environmental sciences, University of Virginia; former director, U.S. Weather Satellite Service
Dr. Harry N.A. Priem, emeritus professor of planetary geology and isotope geophysics, Utrecht University; former director of the Netherlands Institute for Isotope Geosciences; past president of the Royal Netherlands Geological & Mining Society
Dr. Robert H. Essenhigh, E.G. Bailey professor of energy conversion, Dept. of Mechanical Engineering, The Ohio State University
Dr. Sallie Baliunas, astrophysicist and climate researcher, Boston, Mass.
Douglas Hoyt, senior scientist at Raytheon (retired) and co-author of the book The Role of the Sun in Climate Change; previously with NCAR, NOAA, and the World Radiation Center, Davos, Switzerland
Dipl.-Ing. Peter Dietze, independent energy advisor and scientific climate and carbon modeller, official IPCC reviewer, Bavaria, Germany
Dr. Boris Winterhalter, senior marine researcher (retired), Geological Survey of Finland, former professor in marine geology, University of Helsinki, Finland
Dr. Wibjorn Karlen, emeritus professor, Dept. of Physical Geography and Quaternary Geology, Stockholm University, Sweden
Dr. Hugh W. Ellsaesser, physicist/meteorologist, previously with the Lawrence Livermore National Laboratory, Calif.; atmospheric consultant.
Dr. Art Robinson, founder, Oregon Institute of Science and Medicine, Cave Junction, Ore.
Dr. Arthur Rorsch, emeritus professor of molecular genetics, Leiden University, The Netherlands; past board member, Netherlands organization for applied research (TNO) in environmental, food and public health
Dr. Alister McFarquhar, Downing College, Cambridge, U.K.; international economist
Dr. Richard S. Courtney, climate and atmospheric science consultant, IPCC expert reviewer.
(1) Je suis heureux de constater en octobre 2011, que EDF a préparé la mise en service de la première hydrolienne :
Ceci est encourageant pour l'exploitation douce des forces naturelles et en particulier de la force marémotrice, qui je pense est l'une des meilleures alternatives pour le futur.
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Le rôle du soleil sur les phénomènes météo ?
Cyril DUPONT
Extraits considérant l'influence du soleil sur le climat :
Les variations de luminance du soleil ont une influence sur les phénomènes météorologique en France et dans le reste du monde : au 17eme et au 18eme siècle, l'activité solaire était au plus bas, ce qui a engendré une ère glaciaire...
Aujourd'hui, cette influence n'est pas d'actualité : en effet, la plupart des climatologues considère que la part du soleil dans le réchauffement climatique actuel est secondaire voire négligeable par rapport aux émissions de gaz à effet de serre par l'homme.
Cependant, certains climatologues (appelés climatosceptiques) comme Claude Allegre et Vincent Courtillot, réfutent totalement cette considération : pour eux, l'homme n'a aucune influence sur le réchauffement climatique.
...
Les variations de l'activité du soleil restent donc largement incomprises même si c'est l'étoile que nous connaissons la mieux.
Des scientifiques français, comme Cyril DUPONT, (météorologiste professionnel) me contactent régulièrement, et démontrent, s'il en est encore besoin, que la recherche en matière de phénomènes climatiques est loin d'avoir livré toutes ses vérités. Le soleil, sans lequel rien de ce que nous connaissons, ne vivrait, exerce sur la planète des forces qui vont bien au delà de la lumière et de la chaleur.
Comment le soleil influence t-il le climat de notre planète ?
http://www.meteolafleche.com/
Une viste sur ce site vous permettra de "lire" la météo avec un nouveau regard.
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Le VAE, vous connaissez ? une solution de déplacement individuelle
1930 1982 1995
2002 2007 2009
Demain Plus tard
Le vélo à assistance électrique progresse en France
15700 vélos vendus en 2008
(1% du marché français du vélo)
Source, Le Conseil National des Professions du Cycle
En 2010, on approchera les 100
millions de VAE en circulation
dans le monde !
Alternative viable, ou simple
tendance ? On y travaille pourtant
depuis 1930 !
Les nouvelles batteries au Lithium/ion permettent 40.000 km à vélo (durée de vie, environ 4 ans - 1000 km pour 1 euro !)
les recharges consomment une quantité négligeable d'électricité.
Alors, on se lance ?.... moi oui !
Un conseil ? Courez vers ce prodigieux site de l'association AVEM
(Avenir du véhicule électrique méditerranéen) http://avem.fr/
Consultez également l'article très complet sur le phénomène VAE, dans la rubrique "Nouveaux articles" en tête du Blog.
Ou cliquez sur :
http://objectif-climat-raison.over-blog.com/pages/Questce_que_le_VAE_-2142127.html
Derniers ouvrages (de vulgarisation) d'importance en 2010 :
Ouvrages récents :
et aussi :
Point sur le Groenland ( nom par extrapolation proche de green land [pays vert] ) qui est l'objet de polémiques entre les carbocentristes comme les appelle Benoît RITTAUD, ou avenir sceptiques, comme je les nomme, et les climat sceptiques. Ces derniers disent qu'en s'appelant ainsi, ce pays de glace, bordé de toundra, devait être à l'époque du viking Erik le rouge, une terre bien fertile, tandis que les premiers affirment qu'il s'agissait d'un espoir (d'un mythe) dans la culture viking cherchant "justement" une nouvelle terre prodigue pour s'installer. Il ne faut pas aller bien loin (ne serait-ce que sur Internet) pour trouver la réalité de cette grande île :
Les côtes méridionales furent explorées pour la première fois par des Européens en 984: Erik le Rouge, un Viking originaire d'Islande, installa des colonies vikings sur la côte est, tout le long de deux fjords, là où il était possible de pratiquer l'élevage bovin...
Entre 990 et 1050, les Vikings fondèrent une petite colonie sur l'extrême pointe nord de Terre-Neuve, à l'emplacement de l'actuelle Anse-aux-Meadows, non loin de Saint Anthony, qu'ils ont appelé le Vinland, ce qui signifie «pays du vin» (une région où poussaient des raisins sauvages)...
A partir du XVe siècle , les colonies vikings eurent à faire face à un certain refroidissement climatique du Groenland, qui dura jusqu'au XIXe siècle (de 1650 jusqu’à 1850). Si les conditions climatiques étaient tolérables pour les Inuits qui chassaient le phoque, elles devenaient très défavorables pour les Vikings qui dépendaient de la culture du foin (l'été). En réalité, les Vikings auraient pu survivre s'ils avaient su s'adapter, mais ils n'eurent probablement pas les moyens culturels qu'il fallait pour modifier leur mode de vie, ce qui leur aurait permis de survivre à l'instar des Inuits. Les Vikings avaient détruit les forêts pour augmenter le pacage, faire du bois de chauffage ou du bois de construction; les bovins avaient piétiné les pousses et fait disparaître toute végétation naturelle, facilitant ainsi l'érosion à grande échelle et rendant quasi impossible la culture du foin.
http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/amnord/groenland.htm
Mais les exemples de ce mode de vie et des conditions d'existence sont légions dans un nombre incalculable de publications sur le sujet.
Considérables évolution des conditions de vie sur la terre...
à travers les millénaires
En suivant ces derniers temps, un certain nombre de reportages à la télévision, j'ai réalisé que la région des Alpes, il y a très longtemps jouissait d'un climat tropical, que les coraux s'y développaient dans une mer chaude, et qu'au moment où les montagnes ont commencé à surgir, ceux-ci ont été emprisonnés dans les roches.
Rien d'étonnant à priori, la géologie générale de la planète nous montrant des bouleversements inscrits dans les strates. Non ! je me suis juste fait cette réfléxion : les coraux disparaissent aujourd'hui dans les mers chaudes de notre propre millénaire... Causes humaines, changements climatiques, évolution des environnements... En allant plus loin, on nous dit que les ours vont disparaître d'ici 50 ans ! A quand le retour des dinosaures ?
Il n'en demeure pas moins que les choses évoluent continuellement, certaines très vite, d'autres si lentement qu'elles ne nous laissent pas le loisir de les mesurer, jusqu'au jour où...
Alors, en étant sérieux, pouvons nous nous attarder sur ces grands bouleversements à travers les millénaires ?
Il y a 14 000 ans, le niveau de la mer
était supérieur de 100 mètres
par rapport au niveau actuel
qui a remonté il y a 3 000 ans.
Mais il y a 20 millions d’années,
le niveau en Gironde était de plus de 140 mètres.
Il y a 8 000 ans, il était de –20 mètres,
à 11 000 ans de –60 mètres,
à –18 000 ans, il était de –120 à –140 mètres
Quelques éléments de ces terribles changements :
Au paléolithique supérieur,
époque de l’Aurignacien (Aurignac en Hte Garonne)
De –35 000 à –21 000 ans avant JC, période froide, glaciation, le niveau des océans s’abaisse de 120 mètres.
Au Solutréen.
(Solutré près de Macon)
De –21 000 à –18 000 ans.
Le climat est presque identique qu’à l’époque précédente, variations : tantôt chaud ou froid.
Au Magdalénien
(Abri de la Madeleine en Dordogne)
C’est la fin du Paléolithique supérieur.
De –18 000 à –10 000 ans. Entre –14 300 et –11 300 ans, période froide.
Puis période plus chaude, climat tempéré. Fonte des glaciers, le niveau des eaux remonte.
De –9 800 à –8 800 av JC, climat doux (pins maritimes, noisetiers, chênes)
De –8 800 à –8 200 ans, refroidissement.
Au Néolithique,
de –5 000 ans, climat chaud, froid en enfin tempéré.
C’est la fin du Magdalénien, le réchauffement qui avait commencé à –8 000 ans continue.
Par exemple :
Naissance de la forêt d’Aquitaine qui est composée à 60 % de pins sylvestres,
18 % de chênes, 8 % de bouleaux, 6 % d’aulnes et de 2 % de hêtres.
En 3 600 av JC, le climat est tempéré et humide.
Présence de nombreux animaux : bisons, aurochs, chevaux, éléphants, rhinocéros, tigres, lions, ours, hyènes, rennes, loups, porcs sauvages et une grande variété de petit gibier et de poissons.
Dernières nouvelles 28 octobre 2010 : Un article du Figaro par Marielle Court* annonce que l'Académie des Sciences confirme l'impact de l'activité humaine sur le réchauffement climatique. Ce rapport vient d'être transmis à Valérie Pécresse, Ministre de la Recherche. Celle-ci a indiqué que les investissements d'avenir "sont une opportunité majeure pour renforcer la recherche sur le changement climatique". Jean Jouzel et Hervé LeTreut du GIEC, se disent satisfaits de cette conclusion de l'Académie.
Je confirme et insiste sur le fait que je ne suis pas un scientifique et que bien des éléments d'appréciation m'échappent. Je crois cependant raisonnable d'insister sur le fait que les réchauffements et glaciations qui se sont succédés au cours des âges démontrent le peu de recul que nous avons pour avancer une telle "vérité". Je ne serai peut-être plus là pour le constater, mais ces recherches préconisées par madame le Ministre, montreront avec d'autres études, dans 50 ans, la réalité des choses. Que pourront-nous dire alors de ces déclarations si assurées de bien des membres de nos inestimables organisations scientifiques ?
Je pense avec plusieurs milliers d'autres scientifiques sur la planète, que cet impact humain ne dépasse pas 4% !
* Article Le Figaro : Climat : l'Académie confirme l'impact de l'activité humaine.
Janvier 2011 - Est-il possible que les hommes aient été à l'origine d'une catastrophe écologique par le passé ? Je veux dire il y a longtemps, il y a très longtemps. Oui, me direz-vous probablement lors des grandes conquêtes où des régions entières ont été dévastées ou même brulées ! Est-il possible qu'un continent tout entier ai été transformé jusque dans son climat ? par la faute des hommes ? Oui... Il y a des milliers d'années !
Les arborigènes d'Australie en accostant sur la grande île sauvage après un long voyage depuis l'Asie ont trouvé sur place la "mégafaune". De grands animaux rescapés de la disparition des dinosaures, adaptés, survivants, mais suffisants dans un nouvel équilibre naturel. l'homme, nouveau prédateur, était aussi un cultivateur, mais devait se protéger de ces géants dangereux. Que fit-il ? Il mit le feu, oui, partout, pendant des décennies, dévastant toute la végétation à la base de la nourriture des herbivores, qui en disparaissant menèrent à leur pertes les carnivores. Quelle institution humaine moderne serait en droit de condamner aujourd'hui les arborigènes pour ce crime horrible !
L'homme est le plus grand prédateur et en brisant l'équilibre naturel, il modifie le comportement de tout ce qui vit, y compris la végétation et donc le climat. c'est un éternel combat, qui jamais n'est organisé au point de prévoir toutes les conséquences. C'est la vie de la planète, et comme dirait un spécialiste du climat : Et si la terre s'en sortait toute seule !